samedi 7 décembre 2013

Art universel

11.     LA DÉTRESSE D’UNE VIEILLE FEMME ABANDONNÉE


-          Traduit l’angoisse de l’isolement et de l’incommunicabilité.
-          Il a décrit avec toute la résonance du cœur la triste condition du genre humain à travers la tourmente d’une implacable excommunication.
-          Dénonce la lâcheté de la vie et des hommes.
-          C’est toute une expression faite de désolation et d’héroïsme d’une attente endolorie.
-          Un regard digne et noble qui scrute l’horizon.
-          S’attache à peindre la méditation sur la souffrance et la mort.
-          Oubliée des hommes et du ciel elle finira sans doute par en croire au néant.

 "Et seul abandonné de tout le genre humain dont je traînais  partout l’implacable anathème..."

                                   ALBERT SAMAIN (aux flancs du vase )


12.      CONFLIT ENTRE DEUX TRIBUS FRATICIDES


-         Évoque les mœurs « d’indigènes » à travers d’êtres assujettis à un impitoyable destin.
-   Tente d’exprimer le désarroi de l’homme marqué par la peine et la culpabilité face à la médiocrité de l’existence.
-          Dénonce les conflits provoqués par la vie sociale.
-          Peintre de la vie dans tous ses états de crise.
-          S’attache à montrer des personnages accablés de maux sociaux.


                                 Un rendu expressif et cruel d'une classe de déshérités


13.      LES JEUX DE CAILLOUX OU « OSSELETS »


-          Inspiré par les regards, les joies avant d’en venir à une veine plus chaude.
-          Évoque les rires, les fantasmes, la naïveté d’enfants aux prises avec les bouleversements sociaux.
-          S’interroge devant cette incertitude, cet inconnu, ce lendemain.
-          Toute une scène qui résume l’admiration pour l’imagination enfantine.

14. ALLAH AKBAR !

-          Il a décrit avec grâce cette dévotion pure et tendre chez ces nomades pour qui un seul espoir ALLAH.
-          Une Œuvre émouvante qui reflète par son naturel toute la foi en un Dieu unique.
-       Une meilleure image de piété et d’amour face à des regards tournés vers Dieu, des mains tendues vers Dieu et des voix qui s’élèvent et s’apaisent vers Dieu.


REMARQUE IMPORTANTE : l’ensemble de ces œuvres appartient à NASREDDINE DINET. L’interprétation est de l’auteur de « la place du village ».Certains termes techniques propres au monde de l’art-je le précise-ont été extraits de l’ouvrage "Art Universel".         

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